Douve

Douve est un roman policier que j’ai écrit quelque part entre 2015 et 2018. L’idée a germé un soir de novembre à la terrasse d’un bar à Venise alors qu’il faisait froid et pluvieux mais que la bière était bonne. J’ai bu d’autres bières depuis, en revanche, je ne suis jamais retourné à Venise.

Couverture Douve

Synopsis

L’inspecteur Hugo Boloren n’a jamais oublié la phrase prononcée par son père quand il était enfant, « le gamin a Douve dans les veines ». Quand il apprend qu’un meurtre a eu lieu justement à Douve, ce village perdu au milieu d’une forêt de sapins humide, il y voit un signe.

Son père est mort, les souvenirs de sa mère sont abimés par l’Alzheimer : c’est sa dernière chance de comprendre en quoi ce village lui coule dans les veines. Tout ce qu’il sait, c’est que son père, policier, a été envoyé à Douve il y a quarante ans pour enquêter sur la fuite médiatisée d’un Islandais accusé de meurtre, et que sa mère, journaliste, l’a accompagné pour écrire un livre sur l’affaire.

Que s’est-il passé là-bas et pourquoi ont-ils toujours refusé d’en parler ?

Hugo Boloren découvre dans ce village une étrange palette d’habitants aussi attachants qu’inquiétants : un barman aux cocktails envoûtants, des jumelles octogénaires anarchistes, des bûcherons manipulateurs, un maire aux allures d’artiste new-yorkais… Un lieu idéal pour passer inaperçu quand on conduit une voiture de location bradée à cause du siège-bébé impossible à retirer et que l’on enchaîne les chocolats millésimés rangés dans un étui à cigarettes pour résister à l’envie de fumer. Armé du livre écrit par sa mère qui lui raconte le Douve d’il y a quarante ans, Hugo Boloren va bientôt découvrir que le meurtre qui a récemment secoué le village est peut-être lié au séjour de ses parents…

Autour de Douve

Le résumé sus-lu est celui qui accompagnait mon manuscrit alors qu’il sillonnait les boites aux lettres de maisons d’édition de France et de Navarre (Surtout de France, je sais pas trop où c’est, Navarre).

Peut-être qu’un jour, j’écrirai sur la manière dont Douve a croisé la route de Bertrand Pirel, éditeur chez Hugo Thriller, mais je me dis que c’est bien de laisser un peu de mystère. Et puis, je m’interroge : est-que trouver un éditeur, ce n’est pas un peu comme trouver un coin à cèpes ? Un truc un peu mystique qui ne se partage pas…

Si l’aventure de Douve vous tente, j’en suis flatté. Et vous pouvez faire vos emplettes, par exemple, de ce côté-ci.